Habiter en poète · 26. septembre 2020
123 jours dehors, à vivre, travailler, manger, dormir, par tous les temps, traversés par les évènements personnels, aussi bien qu'internationaux. Ce samedi 26 septembre, nous abandonnons le camp d'été qui a été endommagé par le vent et la pluie. Il est temps, l'humidité associée à la baisse des températures nous demande beaucoup d'énergie, nous empêche de dormir et de récupérer, la fatigue commence à peser. Nous avons le sentiment d'avoir vécu quelque chose d'exceptionnel et de fondateur.